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Donnerndes Akkordgewitter

Westfällische Rundschau bei Andreas Wolf - 2007-07-07

 

"Lebensstürme" titelte das dritte Konzert der Musikfestwoche auf Schloss Berleburg mit jongen Künstlern.

...Mit dem Rondo-Quartett aud Budapest sowie den beiden Pianisten/innen Irma Kliauzaite und Nikolaas Kende aus Antwerpen stellten sich hochtalentierte Musikerinen und Musiker vor...
...Mit Franz Schuberts Allegro für Klavier vierhändig in a-moll mit dem Titel "Lebensstürme", der von dem Verleger Anton Diabelli stammt, gab es nach der Pause einen Stimmungschwung. Mit wildem Akkordgehämmer leiteten Irma Kliauzaite und Nikolaas Kende die leidenschaftliche, expressive Fantasie, als Ausbruch weltschmerzlicher Stimmung ein. Dem stürmischen Anfang folgt ein kontrastierender, lyrischer Gedanke, der in der mystischen Wendung Überwindung andeutet, Entrückung aus den Stürmen der Welt. Am Schluss donnern noch einmal die Akkorde, ein im Pianissimo verklingender Nachsatz hat das letzte Wort. Mit Frederic Chopin und Franz Liszt boten Kliauzaite und Kende auch als Solisten eindrucksvoll ihr virtuoses Können...
Nikolaas Kende näherte sich trotz seines spitzbübischen Lächelns, mit dem er den begeisterten Applaus des Publikums entgegennahm, mit tiefen Ernst Franz Liszts Ballade in h-moll. Stürmische Episoden verkn¨pfte
Kende mit lyrischen Abschnitten, um am Ende nach pomphafter Steigerung ("grandioso") in das lyrische Motiv zurückzukehren und die Ballade sanft ausklingen lässt. Ovationen....

 

 

Samedi, dernière journée de la demi-finale

Crescendo, door Bernadette Beyne - 2007-05-22

 

...Nikolaas KENDE quant à lui, nous révélait une magnifique sensibilité.

Dans le Defoort joué de mémoire, il manifeste beaucoup d'inventivité et d'imagination sonore, de l'humour aussi et la petite "coda" finale prend ici tout son sens. L'opus 110 de Beethoven est pris dans un curieux tempo et un curieux découpage... On sent ici un très beau musicien...
Le sens des couleurs et de la poésie, il en témoigne dans les Variations sur un thème original de Brahms qui trouvent leur juste respiration. C'est magnifique.
Il termine avec le Campeador de JosephJongen, décidément à l'honneur dans ces demi-finales. Du caractère, du nerf, le piano sonne sans dureté aucune...

 

 

Standvastige musici overleven

De Standaard, door Veronique Rubens - 2007-05-21

 

...Bij de Belgen betreuren we vooral dat Nikolaas Kende en Philippe Raskin de eindspurt niet halen...

Het zijn pianisten met een originele persoonlijkheid die zeker hun plaats in het concertleven zullen
opeisen... Bij Nikolaas kende was er geen grens aan de muzikale gevoeligheid... Nikolaas Kende gaf elk van de variaties van Brahms zijn unieke bestaansreden. De sonate opus 110 gaf blijk van een enorme muzikale maturiteit...

 

 

In Elisabethwedstrijd zijn de laatsten vaak de eersten

De Morgen, door Rudy Tambuyser en Kris Jacobs - 2007-05-21

 

...Vlaming Nikolaas Kende had bij het verplichte Mozartconcerto naar keuze indruk gemaakt en had achteraf gezien zelfs de meest 'volmaakte' klank van het hele deelnemersveld...

 

 

Apothéose mozartienne

La Libre Belgique, par Nicolas Blanmont - 2007-05-21

 

...Après qu'Arie Van Lysebeth ait fait applaudir le compositeur Kris Defoort, on entend pour la dernière fois sa "Dedicatio VI" : Nikolaas Kende la joue de mémoire et avec une superbe palette sonore. C'est dans
un ton très pénétré qu'il aborde le moderato de la sonate opus 110 de Beethoven...On l'avait déjà remarqué dans Mozart mercredi : ce sont les mouvements lents qui l'inspirent le plus, comme vient le prouver un très
bel adagio...

 

 

 

Ongeziene toeloop voor Koningin Elisabethwedstrijd

De Standaard, door Veronique Rubens - 2007-05-19

 

...Bij de 24 overgebleven deelnemers kunnen we twee soorten onderscheiden. Enerzijds zijn er de klassieke wedstrijdpianisten die virtuositeit en kracht etaleren, en anderzijds de almaar groter wordende
categorie van pianisten die hun instrument ook in het vuur van de wedstrijd poëtisch benaderen. De Belgen behoren allen tot die tweede groep...
Lucas Blondeel en Nikolaas Kende uitten zich het meest als dichters aan de piano...

 

 

 

La Soirée de la troisième journée

crscendo, par Noël Godts - 2007-05-19

 

...Vient ensuite Nikolaas Kende, originaire de Wilrijk, avec le Concerto n° 27 (si bémol majeur, KV 595). Respectueux du texte mozartien et inspiré par la grâce qui s’en dégage, il livre une vision divertissante
et poétique dont le sens prend toute sa signification grâce à sa recherche continue des contrastes et des couleurs. Voilà un jeune musicien qui, sans chercher à en imposer, affirme avec sérénité et finesse un jeu concis, nuancé et limpide. On sent des affinités avec l’univers de Mozart dont il esquisse une musicalité investie,
troublante, fluide et aérienne...

 

 

 

De sacrés caractères, ce mercredi soir!

La Libre Belgique, par Marie-Caroline Lefin - 2007-05-18

 

...Chut, plus de bruit. Avec Nikolaas Kende, les trois mouvements du concerto n°27 deviennent les strophes d'une longue poésie romantique plutôt "auto contemplative", mais extrêmement musicale et touchante. Le
son doux et legatissimo installé d'emblée convient surtout dans le 2e mouvement, dans une homogénéité parfaite avec l'orchestre...

 

 

 

Mozart racé des Belges

Le Soir, par Serge Martin - 2007-05-18

 

...On monte encore d'un cran dans l'aisance avec Nikolaas Kende (Belgique) qui varie habilement les climats dans son 27e concerto K 595. Il y recrée tout un théâtre d'impulsions dans l'allegro initial, recentre pertinemment le discours dans un larghetto délicieusement chantant avant de clôturer sa prestation par un allegro final tout en
verve sautillante...

 

 

Quatre Belges dans le vent

La Libre Belgique, par Martine-Cartine D.Mergeay - 2007-05-14

 

Magnifique après-midi de musique...
Dernier Belge du jour, Nikolaas Kende, 25 ans, confirme sa réputation de musicien sensible, poétique, visionnaire, porté par une technique aisée, toujours mise au service de la musique, signée ici Bach, Rachmaninov,
Bartók et Liszt.

 

 

 

Cinq pianistes belges se hissent en demi-finale

Le Soir, par Debrocq, Michel; Martin, Serge - 2007-05-14

 

Deux francophones : Julien Gernay et Philippe Raskin et trois néerlandophones (Lucas Blondeel, Nikolaas Kende et Liebrecht Vanbeckevoort). Nos jeunes compatriotes auraient-ils repris le goût des carrières musicales ? Après les deux finalistes de la dernière session chant, la performance impressionne. Même si sur les cinq demi-finalistes
belges, quatre ont conduit une partie de leurs études à l'étranger...
...Nikolaas Kende est un pianiste qui impose un son : clair et léger dans Bach, obsédant et noir dans Rachmaninov, cinglant et puissant dans Bartok. Il se montre enfin terriblement imposant dans une Deuxième Ballade de Liszt.

 

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